dimanche 11 février 2007

L'Albanie (Shqipëri, pays de l'aigle) est une république du sud-Est de l'Europe, à l'ouest de la péninsule des Balkans, avec une ouverture sur la mer Adriatique et sur la mer Ionienne. Le pays a une frontière au nord avec le Monténégro, au nord-est avec le Kosovo, à l'est avec l'ancienne République yougoslave de Macédoine et au sud avec la Grèce.
Sa population est d'environ 4 millions en 2005, sur un territoire montagneux à 70%.
Tirana en est la capitale, avec 350 000 habitants ; les autres villes principales du pays sont : Durrës environ 190.000 habitants,Elbasan et Shkodër chacune avec environ 100 000 habitants, Vlora (95 000), Korçë (80 000) et Berat (70 000).
Constituée en tant qu'Etat à l'issue des guerres balkaniques en 1912, l'Albanie demeure un pays mal connu, du fait de son isolement politique durant la seconde moitié du XXe siècle.
Ressources naturelles : Pétrole, gaz naturel, charbon, chrome, cuivre, bois, nickel, potentiel hydroélectrique.
Sommaire[masquer]
1 Langue
2 Histoire
2.1 L'Antiquité et le Moyen Âge
2.2 La conquête ottomane
2.3 Indépendance
3 Politique
3.1 Pouvoir exécutif
3.2 Législature
3.3 Système judiciaire
3.4 Découpage administratif
3.5 Principaux partis politiques
4 Géographie
5 Économie
5.1 Énergie
5.2 Statistiques
5.3 Relations internationales
6 Démographie
7 Littérature
8 Musique
9 Arts plastiques
10 Cinéma
11 Divers
11.1 Statistiques
12 Voir aussi
13 Bibliographie
14 Filmographie
14.1 Liens externes
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Langue [modifier]
Albanais, langue indo-européenne parlée en Albanie, au Monténégro, au Kosovo ainsi que dans certaines poches isolées d'Italie (Arbëresh) et de Grèce. Les deux principaux dialectes ont connu des développements différents au cours du dernier millénaire : le guègue, parlé dans la région nord de l'Albanie délimitée par le fleuve Shkumbin ; le tosque, parlé au sud de ce fleuve ainsi que dans les enclaves italiennes et grecques. Dans l'ensemble, les deux communautés linguistiques se comprennent entre elles, mais il existe de nombreuses formes dialectales qui ne permettent pas toutes l'intercompréhension. La langue officielle de l'Albanie était un dialecte guègue méridional de 1909 jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale ; il fut après cette date remplacé par le tosque. Les œuvres littéraires écrites en caractères latins, peu nombreuses sont, pour la plupart, postérieures au renouveau national du XIXe siècle.
L'albanais constitue une branche distincte, "Groupe thraco-illyrien" de la famille des Langues indo-européennes ; on n'a pu établir aucun lien clairement défini avec quelque autre sous-famille indo-européenne. La grammaire de l'albanais s'apparente étroitement à celle du roumain et du grec moderne. Le vocabulaire comporte de nombreux emprunts au latin, au roumain et aux langues balkaniques.

Histoire [modifier]
Article détaillé : Histoire de l'Albanie.

L'Albanaise
Les Albanais descendraient vraisemblablement des Illyriens, peuple indo-européen qui s'installa dans la région de la côte dalmate au XXe siècle avant J-C. Un royaume illyrien s’est étendu de la côte dalmate aux régions côtières de l’Albanie actuelle et a atteint l’apogée de sa puissance sous le règne du roi Agron, au milieu du IIIe siècle av. J.-C. Il est devenu une forte puissance maritime, mettant ainsi en danger le commerce de la République romaine dans la région. En 168 av. J.-C., Rome conquiert l’Illyrie, qui est sous son autorité pendant plus de cinq siècles. L’Albanie devient un centre important reliant Rome et Byzance par la Via Egnatia. Le nom d'Albanoï apparaît pour la première fois au IIe siècle de notre ère, dans un texte du géographe Ptolémée. Ce nom réapparaît ensuite régulièrement, à partir du Xe siècle, sous la plume des chroniqueurs byzantins.

L'Antiquité et le Moyen Âge [modifier]
À la suite du partage de l’Empire romain en 395 apr. J.-C., l’Albanie est intégrée à l’empire d’Orient. À cette période, les ports albanais comme Dyrrachium (Durrës) deviennent d’importantes places commerciales. Les provinces illyriennes sont dévastées par des tribus nomades, les Goths et les Huns au IVe siècle, les Bulgares au Ve et les Slaves aux VIe et VIIe. Craignant d’être submergés, les Albanais (convertis au christianisme) migrent vers le sud et se concentrent dans les régions montagneuses escarpées où ils restent sous la tutelle théorique de l’Empire byzantin. Aux XIe et XIIe siècles, l’Albanie est envahie par les Normands. En 1190, le prince albanais Progon réussit à instaurer un État indépendant qui se maintient jusqu’à la moitié du XIIIe siècle. Puis le pays est conquis par les Serbes au XIVe siècle. Avec l’effondrement de l’Empire serbe d’Étienne IX Douchan, en 1355, l’Albanie est divisée entre seigneurs féodaux locaux.

La conquête ottomane [modifier]
À la fin du XVe siècle, l'Albanie est submergée par les Ottomans, en dépit d'une farouche résistance rassemblée derrière Gjergj Kastriot Skanderbeg (Georges Castriota Skanderbeg, v. 1403-1468) fils de Gjon Kastrioti (John Castriota).(…) Pendant près d'un quart de siècle, ce héros national — salué par le pape Nicolas V du nom d'« athlète du Christ » — inflige de rudes défaites aux troupes turques, sans toutefois parvenir à les chasser. Gjergj Kastrioti a été enlevé à l'âge de 10 ans par les Turcs pour qu'il devienne janissaire comme beaucoup de jeunes garçons des pays envahis. Les Turcs l'ont renommé Skender et le nom BEG lui est ajouté après car il a été reconnu comme un bon stratège. Parvenu à l'âge adulte ils comprennent qu'il est albanais et non turc : Gjergj retourne alors en Albanie pour combattre les Turcs. Après la mort de Skanderbeg, l'Albanie retombe dans des déchirements féodaux, et le sultan Murat II achève d'abattre ce rempart de la chrétienté.
De nombreux Albanais fuient alors vers l'Italie, formant jusqu'à aujourd'hui la communauté des Arbëresh.
L'histoire de l'Albanie sous l'occupation ottomane, du XVIe siècle jusqu'à 1912, est une succession de révoltes qui échouèrent toutes; les plus célèbres restent celle des Bushati à Shkodër (1796), et celle d'Ali Pacha de Tepelena (1822). Au cours des XVIe et XVIIe siècles, l'Albanie s'islamisa en grande partie, et fournit de nombreux soldats et fonctionnaires (notamment plusieurs vizirs et cinq grands vizirs) à l'Empire ottoman. Les raisons de ces conversions résidaient essentiellement dans le statut social et les intérêts économiques qui découlaient de la profession de foi en l'islam, mais résultaient aussi des jeux d'alliance entre les clans.
La guerre russo-turque de 1877-1878, conclue par le traité de San Stefano, provoque le réveil du sentiment national albanais. En effet, ce traité cède aux Puissances et à la Russie victorieuse des territoires conquis de l'Albanie : le Sud aux Grecs, le Nord aux Serbes et l'Est aux Bulgares. Face à ce démembrement, tandis que se prépare le congrès de Berlin (13 juin 1878), les représentants albanais des diverses communautés se réunissent à Prizren et décident de créer une ligue armée dans le but de défendre le pays et d'obtenir l'autonomie. Connue sous le nom de Ligue de Prizren, cette ligue fut détruite par les puissances européennes, mais elle fut une étape importante dans la renaissance du sentiment national albanais.

Indépendance [modifier]
Indépendante depuis 1912, excepté pendant les périodes d'occupation italiennes en 1916-1920 et 1939-1944, l'Albanie acheva en 1990 une période de 46 ans de dictature communiste instaurée par Enver Hoxha et trois décennies d'isolement politique et économique avec l'Europe.
La transition vers une démocratie multipartite et une économie de marché s'est avérée difficile: des gouvernements faibles et parfois corrompus (ayant dû faire face à un très fort taux de chômage (estimé à 40% après la crise économique de 1989-1992), un chaos consécutif à l'effondrement frauduleux d'un système national d'investissement pyramidal (mars 1997), une grande insécurité, et d'importants mouvements d'émigration (principalement vers la Grèce et l'Italie) puis d'immigration suite au conflit du Kosovo voisin, en 1998-1999.
Il faut bien séparer les questions. L'émigration politique commença avec la dictature communiste en 1944, à destination de l'Europe et des USA, pour s'achever en 1991 avec son effondrement. S'ensuivit une émigration économique qui perdure jusqu'à nos jours.

Politique [modifier]
Liste des chefs d'État d'Albanie
Liste des chefs de gouvernement d'Albanie
Liste des gouverneurs d'Albanie

Pouvoir exécutif [modifier]
Le chef de l’État est le président de la République, qui est élu pour 5 ans au suffrage indirect par l'assemblée populaire, la Kuvendi Popullor. Il nomme le Premier ministre et le gouvernement (17 ministres et 9 secrétaires d'État), qui est finalement soumis à l'approbation de la Kuvendi.

Législature [modifier]
L'Assemblée populaire, le Kuvendi, constitue le pouvoir législatif, responsable des politiques intérieure et extérieure du pays et des modifications de la constitution. Élue tous les 4 ans, elle compte :
100 députés, élus à la majorité absolue.
40 députés, choisis par les partis sur une base proportionnelle (seuil, 2,5%).

Système judiciaire [modifier]
Le système judiciaire dispose d'une cour constitutionnelle, d'une cour de cassation, de cours d'appel et de cours de district. La cour constitutionnelle est composée de 9 membres, désignés par l'Assemblée populaire pour une durée de 9 ans maximum.
Il existe trois types de juridictions : criminelle, civile et militaire. La cour de cassation comporte 11 membres qui sont nommés par l'Assemblée populaire pour une durée de 7 ans. Dans les tribunaux, la justice est rendue par trois juges professionnels. Il n'y a pas de jury populaire.

Découpage administratif [modifier]
Article détaillé : Subdivisions de l'Albanie.
L'Albanie est découpée en 36 districts (Rrethe) qui disposent chacun d'un gouverneur local choisi par le conseil de district dont les membres sont élus au scrutin proportionnel. Les districts sont regroupés en préfectures (qark) qui sont au nombre de 12 avec à leurs têtes des préfets nommés par le conseil des ministres, la capitale Tirana disposant d'un statut spécial. Les maires des autres villes sont élus au suffrage direct, alors que les conseils municipaux le sont à la proportionnelle.

Principaux partis politiques [modifier]
Les chiffres correspondent aux élections du 24 juin 2001.
Parti socialiste d'Albanie (41,5%), 73 députés
Parti démocratique d'Albanie et alliés (36,8%), 46 députés
Nouveau parti démocratique (Parti démocratique et réformateur (Albanie)) (5,2%), 6 députés
Parti social-démocrate (Albanie) (3,6%), 4 députés
Parti de l'Union pour les droits de l'homme, parti de la minorité grecque (2,6%), 3 députés
Front national
De nouvelles élections ont eu lieu le 3 juillet 2005, mais leurs résultats ont immédiatement contestés en raison de nombreux incidents (voir e.a. Courrier des Balkans http://www.balkans.eu.org/article5649.html).

Géographie [modifier]
Article principal : Géographie de l'Albanie

Le mont Korab.
L'Albanie est un pays montagneux (70%), dont le point culminant s'élève à 2753 m (mont Korab). Le reste est constitué de plaines alluviales, dont le terrain est plutôt de piètre qualité pour l'agriculture, alternativement inondé ou desséché. Les terres les plus fertiles sont situées dans le district des lacs (lac d'Ohrid, Grand Prespa et Petit Prespa) et sur certains plateaux intermédiaires entre la plaine et la montagne. La seule île notable est celle de Sazan qui fut tour à tour occupée par diverses grandes puissances européennes.
La plus grande rivière albanaise est la Drini. Longue de 282 km, elle est une des seules à connaître un débit relativement stable tout au long de l'année. Les autres cours d'eau sont généralement presque secs durant l'été, même les rivières Semani et Vjosa, qui ont pourtant une longueur de plus de 160 km.
Le climat y est méditerranéen dans les régions littorales (moyenne hivernale de 7°), et devient plus continental dans le relief. Les précipitations sont assez élevées (1 000 à 1 500 mm annuels), le flux d'air humide rencontrant la masse d'air continentale plus froide, surtout pendant l'hiver, qui est la saison pluvieuse.

Économie [modifier]
Article détaillé : Économie de l'Albanie.
L'Albanie est sortie malade de l'héritage communiste. L'isolement a eu des conséquences importantes sur l'économie.
Avec les ressources naturelles importantes et la variété de climats à l'intérieur de son territoire, l'Albanie aurait pu être l'un des pays les plus riches des balkans(une Suisse des balkans). Néanmoins, une série de facteurs politique, historique, ont fait que celle ci demeure un pays en développement actuellement.Son histoire a été profondément marquée par les quarante-cinq années du régime autoritaire et autarcique mise en place par Enver Hoxha qui s'est maintenu jusqu'en 1991 qui donnaient l'importance principale au secteur primaire, sans favoriser l'agriculture. De plus, le communisme a été le principal frein économique. Sans compter les nombreuses guerres qui ont sévie durant des siècles, ainsi que de l'occupation Ottomane pendant presque 500 ans qui a fait reculer l'Albanie des autres pays occidentaux et qui l'a morcellée et cela en raison de la féodalité Turque.

Énergie [modifier]
La production énergétique de l'Albanie est la production la plus propre d'Europe. En effet, 98% de cette production vient des hydrocentrales situées sur le fleuve Drin au nord du pays. Malgré une consommation moyenne par habitant très basse (l'une des plus faibles en Europe), l'Albanie a des problèmes d'approvisionnement car les 3 hydrocentrales situées sur le Drin ne sont plus aptes à couvrir les besoins électrique de l'Albanie qui n'a pour l'instant d'autre alternative que l'importation ou la restriction.

Statistiques [modifier]
L'Albanie est un pays en développement, qui fait partie des pays les plus pauvres d'Europe (environ 20 % d'habitants en dessous du seuil de pauvreté), avec la moitié de sa population active travaillant dans le secteur de l'agriculture, et un cinquième des actifs travaillant à l'étranger. Officiellement, le chômage s'élève à 15 %, mais des sources indépendantes l'estiment à près de 50% au Nord et au Nord-Est du pays. Il est plus important pour les hommes que les femmes. La croissance globale est de 7,3% mais varie selon les secteurs. Elle atteint presque 20 % pour la construction mais seulement 10 % pour les services publics et privés.
La monnaie nationale est le lek, dont la parité fluctue entre 100 et 120 leke pour un dollar US selon les taux de changes.
L'inflation est estimée à 9% pour l'année 2005.
La croissance industrielle est estimée à 15% pour 2005.
La dette extérieure de l'Albanie s'élevait à 784 millions de dollars US en 2000. Et a depuis, été réduite de moitié par le FMI.
Le PIB de l'Albanie pour l'année 2005 s'élève à environ 19 milliards de dollars US. Soit, au 1 juin 2006 selon le taux de change en vigueur, environ 14,86 milliards d'euros.

Relations internationales [modifier]
Le pays reçoit des aides financières de l'étranger, notamment de la Grèce et de l'Italie qui sont ses principaux partenaires économiques mais en reçoit davantage de la Commission européenne. Le 12 juin 2006, l'Albanie a signé un accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne dans le cadre de sa stratégie de préadhésion. La fuite des élites albanaises est un processus social et économique qui pénalise la recherche. Cependant pour enrayer cet exode et encourager les émigrés au retour, l'Albanie doit définir une politique scientifique et éducative claire, étroitement liée à une politique industrielle à long terme avec l'aide des programmes européens développés à cet effet (ACE, PHARE, TEMPUS ou EAST).
Les exportations sont faibles (environ 1,8 milliard de dollars US en 2005, surtout des produits agricoles), et les travailleurs émigrés sont les principaux pourvoyeurs de devises. Les importations sont principalement les équipements mécaniques, les produits manufacturés, les denrées alimentaires, les textiles et les produits chimiques (environ 2,1 milliards de dollars US en 2005).

Démographie [modifier]
Article détaillé : Démographie de l'Albanie.

Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d'habitants.
L'Albanie est l'un des peuples les plus homogènes ethniquement parlant. 96% de la population est composé d'Albanais de souche, répartis en deux groupes : les Guègues (au nord) et les Tosques (au sud), dont le fleuve Shkumbi constitue la ligne de partage. Ces deux nations se distinguent d'un point de vue linguistique, religieux, mais aussi par une organisation tribale différente. Les Grecs, les Roms, les Serbes et les Bulgares constituent les groupes minoritaires. Les Albanais, qui descendraient des illyriens, sont également présents dans certaines régions et pays voisins, tels que le Kosovo, l'ouest de la République de Macédoine, dans le nord de la Grèce, et dans certaines régions du Monténégro.
Convertie à l'islam par les Turcs pendant l'occupation, l'Albanie compte actuellement trois religions principales : les musulmans (58,8%), les orthodoxes (24,1%) et les catholiques (16,8%). Les clivages religieux jouent un faible rôle dans l'Albanie d'aujourd'hui, à la fois en raison de la tradition très ancienne de coexistence pacifique entre les diverses religions, mais aussi parce que la politique athée du régime d'Enver Hoxha a atténué le sentiment religieux. Parmi les musulmans, on compte deux grandes obédiences: des musulmans sunnites et des bektashis (courant mystique qui se rattache à la tradition chiite et est marqué par une très grande tolérance religieuse et culturelle). Les bektashis ont joué un rôle déterminant dans la lutte des Albanais pour une autonomie au sein de l'empire Ottoman. Pendant la deuxième guerre mondiale, de nombreux dignitaires bektashi ont pris part à la résistance armée aux côtés du Parti Communiste. Ils n'en furent pas moins impitoyablement éliminés par le nouveau régime. L’Albanie ayant subi un isolement complet durant 45 ans, elle doit aujourd'hui encore poursuivre sa reconstruction et son intégration sur la scène internationale.

Littérature [modifier]
Voir l’article Écrivains albanais, par ordre alphabétique.
Ismail Kadare, un écrivan hors du commun qui a obtenu le prix "Man Booker International" en 2005. Il a été comparé souvent à Gogol, Kafka et Orwellin.

Musique [modifier]
Nexhmije Pagarusha, chanteuse et actrice albanaise, vivant au Kosovo.
[Vaçe Zela], chanteuse albanaise vivant en Albanie
Compositeur albanais : Cesk Zadeja, Kujtim Laro, Limoz Dizdari, Xhevahir Spahiu

Arts plastiques [modifier]
Peintres : Kolë Idromeno

Cinéma [modifier]
Voir l’article cinéma albanais.
Voir l’article liste de films albanais.
Réalisateurs/réalisatrices : Dhimitër Anagnosti, Kristaq Dhamo, Gëzim Erebara, Hysen Hakani, Viktor Gjika, Muharrem Fejzo, Xhanfize Keko, Fatmir Koçi, Saimir Kumbaro, Piro Milkani, Vladimir Prifti, Gjergj Xhuvani, Kujtim Çashku
Acteurs/actrices : Roza Anagnosti, Piro Milkani, Aleksander Moisiu, Kadri Roshi

Divers [modifier]
Fêtes et jours fériés
Date
Nom français
Nom local
Remarques
1er et 2 janvier
Nouvel an
Viti i Ri
11 février (2003)
Bajrami i Vogël
7 mars
Jour des enseignants
Dita e Mësuesve
non-officiel
8 mars
Fête des mères
Dita e Nënës
non-officiel
22 mars
Nevruz
20 avril
Pâques
Pashkët Katolike
27 avril
Pâques Orthodoxe
Pashkët Ortodokse
1er mai
Fête du Travail
Një Maji
19 octobre
Jour de Mère Teresa
Dita e Nënë Terezës
25 novembre (2003)
Bajrami Madh
28 novembre
Jour de l'Indépendance
Dita e Pavarësisë
29 novembre
Jour de la Libération
Dita e Çlirimit
25 décembre
Noël
Krishtlindjet

Statistiques [modifier]
Capitale : Tirana
Population 4 124 801 habitants (en 2006). 0-14 ans: 30%; 15-64 ans: 64%; + 65 ans: 7%
Âge moyen (en années) : 27
Superficie : 28 748 km²
Densité : 128 h/km²
Frontières terrestres : 720 km (Kosovo et Monténégro 287 km Grèce 282 km; République de Macédoine 151 km)
Littoral : 362 km
Extrémités d'altitude : 0 > + 2 753 m
Espérance de vie des hommes : 70 ans (en 2006)
Espérance de vie des femmes : 76 ans (en 2006)
Taux de croissance de la population : 0,88% (en 2001)
Taux de natalité : 17 pour 1000 (en 2006)
Taux de mortalité : 5 pour 1000 (en 2006)
Taux de mortalité infantile : 6 pour 1000 (en 2006)
Taux de fécondité : 2,6 enfants/femme (en 2006)
Taux de migration : -3,69 ‰ (en 2001)
Indépendance : 28 novembre 1912
Lignes de téléphone : 324 000 (en 2006)
Téléphones portables : 2.6M (en 2006)
Postes de radio : 1M (en 2006)
Postes de télévision : 900.000 (en 2006)
Utilisateurs d'Internet : 100.000 personnes (en 2006)
Nombre de fournisseurs d'accès Internet : 9 (en 2006)
Routes : 22 500 km (dont 17 200 km goudronnés) (en 2006)
Voies ferrées : 447 km (en 2001)
Voies navigables : 43 km (en 1990)
Nombre d'aéroports : 11 (dont 3 avec des pistes goudronnées (en 2000)
(Sources: "Gjeografia 4" (Livre de geographie de terminale)

Voir aussi [modifier]

Une catégorie de Wikimedia Commons propose des documents multimédia sur l'Albanie.
Armée nationale albanaise
Chronologie politique de l'Albanie
Arbëresh

Bibliographie [modifier]
Histoire des albanais - Serge Métais - Editions Fayard

Filmographie [modifier]
(en) The Albanians, film documentaire de Bujar Kokonozi, 2000 (47').
(fr) L'Albanie d'Enver Hoxha, film documentaire de Robert Qafzezi, 1997.
(fr) Où vas-tu Albanie ?, film documentaire de Jean-Louis Berdot, EAV Productions, 1997 (56').

Liens externes [modifier]
La catégorie Albanie de l'annuaire dmoz.
Look-for-albania.com Guide, forum & info.
National Tourism Organization Albania's official website for travel & tourism information.
UNESCO: Le patrimoine culturel dans le Sud-Est européen: Albanie. Rapport de mission 26 avril – 7 mai 2004
Images Albanie
Télévision Albanaise par satellite consultable
Forum Libre.com L'air sur la Hongrie et l'Europe centrale
Dossier Albanie sur le portail humanitaire
Espace Albanie de Centreurope.
Forum Albanie
L'Albanie d'aujourd'hui
Autres formalités
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